Course à pied
Conseils
Conseils course à pied triathlon. Vous serez passé par la natation et le vélo, une dernière transition et vous voilà lancé dans une course à pied avant la ligne d’arrivée.
Cap ou pas Cap?
Conseils course à pied triathlon
D’abord la natation, ensuite le vélo et enfin la course à pied : tel est l’ordre d’enchaînement des disciplines en triathlon. Les triathlètes terminent leur partie vélo et opèrent leur deuxième et dernière transition. Ils déposent leur vélo de route et s’élancent en courant sur le circuit les menant à la ligne d’arrivée.
Le parcours est tracé sous forme d’aller-retour ou de boucle. Selon le format du triathlon, les coureurs peuvent emprunter plusieurs fois l’itinéraire pour réaliser la distance donnée. Si la course se déroule généralement sur le bitume, les triathlètes peuvent être amenés à évoluer sur différents terrains.
Le dénivelé varie en fonction de l’altimétrie de la région. Tantôt plat ou vallonné, tantôt escarpé, bien se renseigner sur le parcours avant est primordial.
Distances
- triathlon XS : 2,5 km ;
- triathlon S : 5 km ;
- triathlon M : 10 km (la distance olympique) ;
- Half Ironman : 21,1 km (un semi-marathon) ;
- triathlon L : 30 km ;
- triathlon XL : 30 km ;
- triathlon XXL ou Ironman : 42,195 km (un marathon).
Transition
La course à pied représente la composante la plus accessible des trois sports enchaînés. Nombreux sont les gens qui courent déjà régulièrement avant de commencer le triathlon. Mais elle n’en est pas moins exigeante, loin de là, très loin de là.
En effet, la partie course en triathlon est assez complexe et difficile à gérer, car le triathlète en a plein les pattes après avoir nagé et pédalé pendant un certain temps. À cause de la fatigue accumulée de l’organisme, l’effort s’avère tout à fait différent d’une compétition classique de course à pied seule.
En pratique, le principe est d’anticiper le passage à la course à pied lors des derniers kilomètres de vélo en diminuant légèrement la cadence et les watts. Gardez en tête que les premières foulées seront ardues, ce qui est normal : il vous faudra plusieurs minutes pour trouver votre rythme et vous sentir bien dans vos baskets.
Les jambes seront un peu comme du coton lors des premières foulée, en effet, les deux premières disciplines (natation et vélo) étant des sport dit portés, ce qui n’est pas le cas de la course à pied.
Bien sûr, le mental joue un rôle prépondérant surtout sur la fin de l’épreuve. Retrouvez des conseils course à pied triathlon dans mon programme disponible ici
Chaussures
L’idéal est de choisir des chaussures avec un bon amorti, suffisamment confortables pour être portées pieds nus. Eh oui, la plupart des triathlètes courent sans chaussettes. Si ce n’est pas impératif, vous grappillerez toutefois quelques secondes de plus lors de la transition natation-vélo (T1).
Le deuxième critère tend également à vous faire gagner du temps, mais cette fois-ci pour la transition vélo-course à pied (T2). Il s’agit d’utiliser des lacets rapides permettant d’enfiler vos chaussures sans les attacher. En silicone ou à nœuds, ces lacets élastiques se bloquent automatiquement au réglage de votre choix. Aucun risque qu’ils se dénouent pendant votre course, pratque et efficace.
Si vous visez la performance, orientez-vous vers un modèle léger et dynamique pour voler au-dessus de l’asphalte.
Il vous faudra une trifonction, des lunettes de soleil et une casquette. Indispensable également si vous souhaitez suivre votre chrono : la montre GPS. Elle sera par ailleurs utile pour analyser votre exploit à l’issue du triathlon.
Matériel pour la course à pied en triathlon ici